La Tunisie souhaite atteindre une liste négative de licences d’ici la fin de 2022, et de préparer des offres de valeur pour les investisseurs dans les secteurs stratégiques, ainsi que de développer le système législatif et institutionnel pour l’avancement des start-ups.

Selon le document de suivi de la mise en œuvre du programme national de réforme publié par la présidence du gouvernement vendredi soir la Tunisie travaille à fournir des incitations supplémentaires pour la création de nouvelles entreprises et le renouvellement.

L’État cherche à revoir le code des échanges, et faire un pacte compétitivité sectorielles dans les secteurs du textile, de la pharmacie et des composants automobiles, et envisager l’adoption de nouvelles pacte dans d’autres secteurs et à approuver un cadre législatif qui stimule le développement des services logistiques.

Le gouvernement cherche également à revoir les cahiers de charge et à développer la gouvernance des comités chargés d’attribuer les licences et les motivations pour faciliter l’accès au marché et promouvoir la position de la Tunisie dans la mise en œuvre des programmes d’investissement dans les secteurs stratégiques.

Il travaille à établir un parcours numérique unifié au profit des investisseurs, en numérisant les services associés à travers le guide de l’investisseur numérique et la plateforme numérique de l’investisseur.

Le gouvernement a pour l’instant finalisé la délivrance d’une seconde liste de licences supprimées (25 licences), achevant l’étape d’inventaire des 200 cahiers de charges de conditions d’exercice d’activités économiques, en plus du lancement de la plateforme numérique « accès au marché » depuis février 2022.

Dans le domaine de l’investissement, le gouvernement a suivi 39 mesures de réforme liées à l’amélioration de la compétitivité et de l’investissement, à la présentation d’offres intéressantes pour attirer des investissements prometteurs et de réinstallation, et au lancement du guide numérique de l’investisseur au début de 2022.